30.7.13

Vrais ragots et fausses rumeurs


  • Profitant d'une fête d'anniversaire arrosée de boissons fermentées aux compositions plus ou moins avouables, Maître Ken Thal aurait sombré dans une léthargie éthylique particulièrement prononcée, ce qui expliquerait son absence lors de la dernière semaine de Juinssidor.

  • Maître Naenira, à l'occasion d'un don de quête, aurait pris l'apprentie Kayzame pour un homme, et se serait justifiée de son erreur en prétendant que l'apprentie en question avait [sic] "autant de formes qu'une planche à pain".

  • Fin Juinssidor dernier, alors qu'on lui demandait innocemment où il avait passé la soirée (au lieu de travailler), le grand sériane Seltos aurait clairement répondu [sic] "J'étais avec une fille... ou deux, je m'en souviens plus". Ce grand sériane ténébreux serait donc un homme à femmes ? Affaire à suivre !

  • L'ancienne maîtresse Paramore aurait un tatouage en forme de minotor rouge indiquant "Maman je t'aime" sur le haut du crâne. Ce serait pour ça qu'on ne la voit jamais sans un bonnet bleu fermement vissé sur la tête ?

  • Interrogée par notre équipe, Paro Cabane, tailleuse officielle du clan depuis 639, aurait confié n'avoir jamais été contactée pour la confection des uniformes mercenaires distribuées lors de l'année 643. La commande aurait été passée chez Cliniss Wood, un obscur tailleur sous-traitant brakmarien spécialiste du poncho vert à rayures depuis le début de l'été.

  • Le sériane Dry-gin aurait passé les deux premières semaines de Jouillier à expérimenter la Cucaracha et la Carioca (à grand renfort de punch citron-kokoko) accompagné de jolies sadidettes sur une plage de Moon. On raconte partout là-bas que son déhanché ravageur est dores et déjà légendaire. Le petit cachotier !


  • Selon le mage Ax, spécialiste du voyage krosmonautique depuis... très longtemps, le méryde Sylfaen (traditionnellement honoré le 22 Aperirel) n'aurait toujours pas finis d'engloutir les quantités impressionnantes de poisson livrées par ses fidèles. Ce n'est pas faute d'essayer, pourtant...
Par C.H.C

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