9.8.09

Vacances, j'oublie tout











Les vacances du mercenaire


Enfin les rayons du soleil se font caresse,
Le monde des douze s’enivre de paresse,
Voila les plages qui partout se noircissent,
Et les kokoko dans les cocktails fleurissent,

Qu’il est doux de ne rien faire en ces temps,
Pense le mercenaire en poussant de longs soupirs,
Fidèle à sa besogne travaillant toujours au clan,
En rêvant à ces exquis et inaccessibles désirs.

Il est si aisé de les imaginer ces jolies filles,
Ecaflipettes, fecattes, sramettes et sadidettes,
S’amusant et riant sur les chemins champêtres.
Leur minois radieux sous ce soleil qui brille.

Vient ensuite la fraîcheur des eaux de la mer,
Qu’il serait si bon de pouvoir si abandonner,
Mais surpris par un maître il se fit sermonner,
Pauvre mercenaire ces vacances lui sont amères.

Par Gotthyka

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